L’ECRITURE DU FÉMININ ET LE MANQUE FONDAMENTAL

Autor/innen

  • Leonardo Alexander do Carmo Silva Université Sorbonne Nouvelle (Paris 3)

DOI:

https://doi.org/10.21165/gel.v13i2.1423

Schlagworte:

Marguerite Duras, Clarice Lispector, feminino, escrita do feminino

Abstract

Le Ravissement de Lol V. Stein, de Marguerite Duras, et A Paixão Segundo G.H., de Clarice Lispector, sont apparemment des romans très différents, mais ils nous permettent de réfléchir sur la question du féminin et plus précisément, sur l’écriture du féminin. Chaque récit est construit autour d'un événement majeur, un moment de basculement pour les personnages féminins. Pour Lol V. Stein, il s'agit du « rapt » de son fiancé par Anne-Marie Stretter, le soir du bal à T. Beach. Pour G.H., c’est la vision d'un cafard dans la chambre de bonne qui entraîne une véritable aventure existentialiste. Ces deux événements ont des conséquences dévastatrices pour les deux personnages. Ses parcours se caractérisent par une perte ou une dissolution de l’identité. Le féminin, dans les romans, est associé à un manque fondamental.

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Autor/innen-Biografie

Leonardo Alexander do Carmo Silva, Université Sorbonne Nouvelle (Paris 3)

Doutorando em Estudos do Mundo Lusófono (Université Sorbonne-Nouvelle). Mestre em Literatura Comparada (Université Paris-Sorbonne) e mestre em Estudos Lusófonos (Université Sorbonne-Nouvelle).

Veröffentlicht

2016-09-26

Zitationsvorschlag

do Carmo Silva, L. A. (2016). L’ECRITURE DU FÉMININ ET LE MANQUE FONDAMENTAL. Revista Do GEL, 13(2), 237–248. https://doi.org/10.21165/gel.v13i2.1423